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Un si sombre espoir
Sur les collines du sud d'Hébron
David Shulman
Figure de la vie intellectuelle israélienne, David Shulman est l’un des fondateurs d’un mouvement de protestation civile contre la colonisation qui réunit des Palestiniens et des Israéliens. Son nom : Ta’ayush, en arabe « coexistence », de ta’ayasha, « vivre ensemble ». À l’enseigne de Gandhi et Martin Luther King, Un si sombre espoir est le récit de ce combat pacifique. Sollicité par son éditeur, Maurice Olender, qui fut solidaire de notre journal depuis sa création, Mediapart a financé sa traduction française. En hommage à cet ami récemment disparu, nous vous proposons ce livre d’une actualité, hélas, toujours brûlante.
Retrouvez la préface du livre, signée Maurice Olender, sur Mediapart
« Un jour, ce conflit trouvera sa résolution, mais la réalité quotidienne est pratiquement insupportable. Je ne pouvais plus la tolérer en restant assis à mon bureau. Je me sens responsable des atrocités commises, en mon nom, par la moitié israélienne de l’histoire. Laissons les Palestiniens prendre leurs responsabilités face à celles que l’on commet en leur nom. De notre côté, il y a l’entreprise, toujours en cours, des colonies installées sur une terre annexée [...] »
Bonne réponse
David Shulman est membre d’une coalition unique d’Israéliens et de Palestiniens qui lutte contre l’occupation par la non-violence, dont l’objectif consiste à aider les victimes de spoliations et d’évictions dans ces territoires. Il ne s’agit pas pour ces activistes de se borner à défiler dans des manifestations (l’auteur estime qu’elles ne sont pas pour lui une réponse satisfaisante) mais d’agir malgré les interdictions de l’armée.
Mauvaise réponse
David Shulman est membre d’une coalition unique d’Israéliens et de Palestiniens qui lutte contre l’occupation par la non-violence, dont l’objectif consiste à aider les victimes de spoliations et d’évictions dans ces territoires. Il ne s’agit pas pour ces activistes de se borner à défiler dans des manifestations (l’auteur estime qu’elles ne sont pas pour lui une réponse satisfaisante) mais d’agir malgré les interdictions de l’armée.
Bonne réponse
Maurice Olender défendait l’idée qu’être entouré de beaucoup de livres sans les avoir lus, c’est laisser libre la part du rêve, le possible d’une action onirique, l’échappée vers un imaginaire fructueux...
Mauvaise réponse
Maurice Olender défendait l’idée qu’être entouré de beaucoup de livres sans les avoir lus, c’est laisser libre la part du rêve, le possible d’une action onirique, l’échappée vers un imaginaire fructueux...
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