Mediapart est un journal d’information numérique, indépendant et participatif.
Ses quatre cofondateurs/-trices sont François Bonnet, Laurent Mauduit, Edwy Plenel et Marie-Hélène Smiéjan. Gérard Desportes et Godefroy Beauvallet participèrent aussi aux débuts de la création de Mediapart.
Mediapart est un journal d’information numérique, indépendant et participatif.
Ses quatre cofondateurs/-trices sont François Bonnet, Laurent Mauduit, Edwy Plenel et Marie-Hélène Smiéjan. Gérard Desportes et Godefroy Beauvallet participèrent aussi aux débuts de la création de Mediapart.
C'est l’affaire Bettencourt à l’été 2010 qui a marqué un tournant dans l'histoire du journal, permettant à Mediapart de devenir rentable.
Et depuis la décision du 4 juillet 2013, Mediapart n'a plus le droit de diffuser les enregistrements du majordome de Liliane Bettencourt. Au total, 70 articles se référant et citant ces enregistrements ont été censurés depuis cette date, à la demande de Patrice de Maistre.
C'est l’affaire Bettencourt à l’été 2010 qui a marqué un tournant dans l'histoire du journal, permettant à Mediapart de devenir rentable.
Et depuis la décision du 4 juillet 2013, Mediapart n'a plus le droit de diffuser les enregistrements du majordome de Liliane Bettencourt. Au total, 70 articles se référant et citant ces enregistrements ont été censurés depuis cette date, à la demande de Patrice de Maistre.
Au-delà de la sanctuarisation du capital de Mediapart, ce Fonds pour une presse libre (FPL) assure une mission d’intérêt général, au service de la profession et du public : promouvoir, aider et défendre la liberté de la presse, garante du droit de savoir et de la liberté de dire, soutenir son pluralisme et protéger son indépendance. Son action répond à un objectif d’intérêt général inscrit dans la Constitution de la République française et consolidé par la Cour européenne des droits de l’homme.
L’objectif du FPL est de contribuer à la réalisation, au respect et à la protection de ces principes démocratiques à l’heure des bouleversements de la révolution numérique. Il entend veiller à ce que celle-ci ne soit pas synonyme de régression du pluralisme de la presse, de perte d’indépendance des rédactions et d’affaiblissement de la liberté de l’information. Sa création est d’autant plus nécessaire que les attaques contre la liberté d’informer se multiplient aujourd’hui en France, dans un contexte international de régression autoritaire des démocraties.
Au-delà de la sanctuarisation du capital de Mediapart, ce Fonds pour une presse libre (FPL) assure une mission d’intérêt général, au service de la profession et du public : promouvoir, aider et défendre la liberté de la presse, garante du droit de savoir et de la liberté de dire, soutenir son pluralisme et protéger son indépendance. Son action répond à un objectif d’intérêt général inscrit dans la Constitution de la République française et consolidé par la Cour européenne des droits de l’homme.
L’objectif du FPL est de contribuer à la réalisation, au respect et à la protection de ces principes démocratiques à l’heure des bouleversements de la révolution numérique. Il entend veiller à ce que celle-ci ne soit pas synonyme de régression du pluralisme de la presse, de perte d’indépendance des rédactions et d’affaiblissement de la liberté de l’information. Sa création est d’autant plus nécessaire que les attaques contre la liberté d’informer se multiplient aujourd’hui en France, dans un contexte international de régression autoritaire des démocraties.
Depuis 16 ans, nous n’avons pas d’autre ligne : servir le droit de savoir. Avec une conviction : tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public. Pour respecter vraiment cet engagement, sans compromis ni renoncement, nous avons fait le choix d’une indépendance radicale : zéro actionnaire, zéro publicité, zéro aide de l'État. Seulement nos abonné·es.
C’est ce modèle qui nous permet d’enquêter librement sur la présidence Macron comme sur le financement du clan Sarkozy par la dictature libyenne. Sur les falsifications du professeur Raoult comme sur les méthodes de barbouzes du groupe LVMH et de son patron Bernard Arnault. Sans Mediapart vous ne l’auriez jamais su.
Depuis 16 ans, nous n’avons pas d’autre ligne : servir le droit de savoir. Avec une conviction : tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public. Pour respecter vraiment cet engagement, sans compromis ni renoncement, nous avons fait le choix d’une indépendance radicale : zéro actionnaire, zéro publicité, zéro aide de l'État. Seulement nos abonné·es.
C’est ce modèle qui nous permet d’enquêter librement sur la présidence Macron comme sur le financement du clan Sarkozy par la dictature libyenne. Sur les falsifications du professeur Raoult comme sur les méthodes de barbouzes du groupe LVMH et de son patron Bernard Arnault. Sans Mediapart vous ne l’auriez jamais su.
MediaMedia Crash - Qui a tué le débat public ? a reçu, le 4 juin 2023, le prix Arnaud-Hamelin SATEV-FiGRA au Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société, organisé à Douai (Nord).
MediaMedia Crash - Qui a tué le débat public ? a reçu, le 4 juin 2023, le prix Arnaud-Hamelin SATEV-FiGRA au Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société, organisé à Douai (Nord).
La phrase que n'a pas prononcé Edwy Plenel est « Dans le monde des médias, Mediapart est comme le piment dans la salsa : ça pique, mais ça relève le goût de la vérité. »
La phrase que n'a pas prononcé Edwy Plenel est « Dans le monde des médias, Mediapart est comme le piment dans la salsa : ça pique, mais ça relève le goût de la vérité. »
Tout se passe très vite. Presque en silence. « Sur le moment, j’étais tellement choquée que je n’ai pas dit grand-chose. »
D'après le témoignage audio de Sandrine Rousseau, porte-parole de EELV Mediapart et France Inter.
Tout se passe très vite. Presque en silence. « Sur le moment, j’étais tellement choquée que je n’ai pas dit grand-chose. »
D'après le témoignage audio de Sandrine Rousseau, porte-parole de EELV Mediapart et France Inter.
Pour la première fois dans l’histoire de Mediapart, le parquet de Paris a tenté de perquisitionner les locaux de la rédaction, le lundi 4 février 2019 au matin, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour (notamment) atteinte à la vie privée dans l'affaire Benalla, à la suite de nos révélations.
Dans un jugement du 6 juillet 2022, le tribunal de Nanterre a condamné l’État pour sa tentative de perquisition des locaux de Mediapart du 4 février 2019, la jugeant « ni nécessaire dans une société démocratique ni proportionnée à l’objectif poursuivi ». Le jugement, très sévère pour le parquet de Paris, consacre la liberté d’informer et la protection des sources.
Pour la première fois dans l’histoire de Mediapart, le parquet de Paris a tenté de perquisitionner les locaux de la rédaction, le lundi 4 février 2019 au matin, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour (notamment) atteinte à la vie privée dans l'affaire Benalla, à la suite de nos révélations.
Dans un jugement du 6 juillet 2022, le tribunal de Nanterre a condamné l’État pour sa tentative de perquisition des locaux de Mediapart du 4 février 2019, la jugeant « ni nécessaire dans une société démocratique ni proportionnée à l’objectif poursuivi ». Le jugement, très sévère pour le parquet de Paris, consacre la liberté d’informer et la protection des sources.
Ces dernières années, nous avons été espionnés par des États ; nous avons été attaqués plus de 200 fois en justice ; un de nos articles a même été récemment censuré avant sa sortie : cela ne s’était pas produit depuis la grande loi sur la presse de 1881.
Mais en dépit de toutes les caricatures et attaques que nous subissons, nous tentons de continuer de vous informer au mieux et sans protéger personne : aucun parti, aucun homme politique, aucun groupe industriel, aucun syndicat, aucune ONG ne doit être soustraite à notre regard critique. Car c’est aussi ça l’indépendance.
Ces dernières années, nous avons été espionnés par des États ; nous avons été attaqués plus de 200 fois en justice ; un de nos articles a même été récemment censuré avant sa sortie : cela ne s’était pas produit depuis la grande loi sur la presse de 1881.
Mais en dépit de toutes les caricatures et attaques que nous subissons, nous tentons de continuer de vous informer au mieux et sans protéger personne : aucun parti, aucun homme politique, aucun groupe industriel, aucun syndicat, aucune ONG ne doit être soustraite à notre regard critique. Car c’est aussi ça l’indépendance.