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BONNE RÉPONSE

Qui sommes-nous ?

Depuis sa création en 2008, Mediapart est une exception dans le paysage médiatique : un journal quotidien totalement numérique, totalement participatif et totalement indépendant.
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Qui sommes-nous ?

Depuis sa création en 2008, Mediapart est une exception dans le paysage médiatique : un journal quotidien totalement numérique, totalement participatif et totalement indépendant.
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Qui sommes-nous ?

Mediapart est un journal d’information numérique, indépendant et participatif.

Ses quatre cofondateurs/-trices sont François Bonnet, Laurent Mauduit, Edwy Plenel et Marie-Hélène Smiéjan. Gérard Desportes et Godefroy Beauvallet participèrent aussi aux débuts de la création de Mediapart.

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Qui sommes-nous ?

Mediapart est un journal d’information numérique, indépendant et participatif.

Ses quatre cofondateurs/-trices sont François Bonnet, Laurent Mauduit, Edwy Plenel et Marie-Hélène Smiéjan. Gérard Desportes et Godefroy Beauvallet participèrent aussi aux débuts de la création de Mediapart.

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BONNE RÉPONSE

L'affaire Bettencourt

C'est l’affaire Bettencourt à l’été 2010 qui a marqué un tournant dans l'histoire du journal, permettant à Mediapart de devenir rentable.

 

Et depuis la décision du 4 juillet 2013, Mediapart n'a plus le droit de diffuser les enregistrements du majordome de Liliane Bettencourt. Au total, 70 articles se référant et citant ces enregistrements ont été censurés depuis cette date, à la demande de Patrice de Maistre.

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L'affaire Bettencourt

C'est l’affaire Bettencourt à l’été 2010 qui a marqué un tournant dans l'histoire du journal, permettant à Mediapart de devenir rentable.

 

Et depuis la décision du 4 juillet 2013, Mediapart n'a plus le droit de diffuser les enregistrements du majordome de Liliane Bettencourt. Au total, 70 articles se référant et citant ces enregistrements ont été censurés depuis cette date, à la demande de Patrice de Maistre.

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BONNE RÉPONSE

En 2019, Mediapart rend son indépendance irréversible

À l’invention journalistique qui a fait sa réussite, Mediapart a ajouté une invention capitalistique en logeant, en 2019, 100 % de son capital dans une structure à but non lucratif qui, en le sanctuarisant, le rend inviolable, non cessible et non achetable. Ce Fonds pour une presse libre a pour mission d’intérêt général de défendre la liberté, l’indépendance et le pluralisme de la presse.
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En 2019, Mediapart rend son indépendance irréversible

À l’invention journalistique qui a fait sa réussite, Mediapart a ajouté une invention capitalistique en logeant, en 2019, 100 % de son capital dans une structure à but non lucratif qui, en le sanctuarisant, le rend inviolable, non cessible et non achetable. Ce Fonds pour une presse libre a pour mission d’intérêt général de défendre la liberté, l’indépendance et le pluralisme de la presse.
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En 2019, Mediapart rend son indépendance irréversible

Au-delà de la sanctuarisation du capital de Mediapart, ce Fonds pour une presse libre (FPL) assure une mission d’intérêt général, au service de la profession et du public : promouvoir, aider et défendre la liberté de la presse, garante du droit de savoir et de la liberté de dire, soutenir son pluralisme et protéger son indépendance. Son action répond à un objectif d’intérêt général inscrit dans la Constitution de la République française et consolidé par la Cour européenne des droits de l’homme.

 

L’objectif du FPL est de contribuer à la réalisation, au respect et à la protection de ces principes démocratiques à l’heure des bouleversements de la révolution numérique. Il entend veiller à ce que celle-ci ne soit pas synonyme de régression du pluralisme de la presse, de perte d’indépendance des rédactions et d’affaiblissement de la liberté de l’information. Sa création est d’autant plus nécessaire que les attaques contre la liberté d’informer se multiplient aujourd’hui en France, dans un contexte international de régression autoritaire des démocraties.

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En 2019, Mediapart rend son indépendance irréversible

Au-delà de la sanctuarisation du capital de Mediapart, ce Fonds pour une presse libre (FPL) assure une mission d’intérêt général, au service de la profession et du public : promouvoir, aider et défendre la liberté de la presse, garante du droit de savoir et de la liberté de dire, soutenir son pluralisme et protéger son indépendance. Son action répond à un objectif d’intérêt général inscrit dans la Constitution de la République française et consolidé par la Cour européenne des droits de l’homme.

 

L’objectif du FPL est de contribuer à la réalisation, au respect et à la protection de ces principes démocratiques à l’heure des bouleversements de la révolution numérique. Il entend veiller à ce que celle-ci ne soit pas synonyme de régression du pluralisme de la presse, de perte d’indépendance des rédactions et d’affaiblissement de la liberté de l’information. Sa création est d’autant plus nécessaire que les attaques contre la liberté d’informer se multiplient aujourd’hui en France, dans un contexte international de régression autoritaire des démocraties.

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Aucun conflit d’intérêts, aucun mélange des genres, aucune dépendance de milieux extérieurs aux métiers de l’information : assurée par le soutien de vos abonnements – « Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter », aimons-nous dire –, cette indépendance économique contraste avec la situation du reste des médias, possédés par des financiers et des industriels plus soucieux de la protection de leurs intérêts privés que de la défense de l’intérêt général.

 

Depuis 16 ans, nous n’avons pas d’autre ligne : servir le droit de savoir. Avec une conviction : tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public. Pour respecter vraiment cet engagement, sans compromis ni renoncement, nous avons fait le choix d’une indépendance radicale : zéro actionnaire, zéro publicité, zéro aide de l'État. Seulement nos abonné·es.

 

C’est ce modèle qui nous permet d’enquêter librement sur la présidence Macron comme sur le financement du clan Sarkozy par la dictature libyenne. Sur les falsifications du professeur Raoult comme sur les méthodes de barbouzes du groupe LVMH et de son patron Bernard Arnault. Sans Mediapart vous ne l’auriez jamais su.

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Aucun conflit d’intérêts, aucun mélange des genres, aucune dépendance de milieux extérieurs aux métiers de l’information : assurée par le soutien de vos abonnements – « Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter », aimons-nous dire –, cette indépendance économique contraste avec la situation du reste des médias, possédés par des financiers et des industriels plus soucieux de la protection de leurs intérêts privés que de la défense de l’intérêt général.


Depuis 16 ans, nous n’avons pas d’autre ligne : servir le droit de savoir. Avec une conviction : tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public. Pour respecter vraiment cet engagement, sans compromis ni renoncement, nous avons fait le choix d’une indépendance radicale : zéro actionnaire, zéro publicité, zéro aide de l'État. Seulement nos abonné·es.


C’est ce modèle qui nous permet d’enquêter librement sur la présidence Macron comme sur le financement du clan Sarkozy par la dictature libyenne. Sur les falsifications du professeur Raoult comme sur les méthodes de barbouzes du groupe LVMH et de son patron Bernard Arnault. Sans Mediapart vous ne l’auriez jamais su.

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Octobre 2023 : une nouvelle direction éditoriale de Mediapart

Après un vote de la rédaction, Lénaïg Bredoux et Valentine Oberti ont pris leurs fonctions en octobre 2023 en tant que codirectrices éditoriales de Mediapart. Le journal réaffirme sa promesse d’une information indépendante, à même de faire dérailler les agendas saturés par la com’ et l’extrême droite. Celle-ci sera l’objet d'une attention particulière. Tout comme l’effondrement du climat et les médias.
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Octobre 2023 : une nouvelle direction éditoriale de Mediapart

Après un vote de la rédaction, Lénaïg Bredoux et Valentine Oberti ont pris leurs fonctions en octobre 2023 en tant que codirectrices éditoriales de Mediapart. Le journal réaffirme sa promesse d’une information indépendante, à même de faire dérailler les agendas saturés par la com’ et l’extrême droite. Celle-ci sera l’objet d'une attention particulière. Tout comme l’effondrement du climat et les médias.
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« Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter »

Mediapart a fait le choix de ne pas être financé par des milliardaires, de ne pas recourir à la publicité, de ne pas recevoir d’aides publiques à la presse. C’est ce modèle, financé exclusivement par nos abonné·es, qui nous permet d’enquêter librement, avec audace et détermination, dans tous les domaines de la vie publique française ou de l’actualité internationale : le respect de leurs promesses par les élus; les manquements à la probité de nos dirigeants; la corruption et les conflits d’intérêts; les violences sexistes et sexuelles; les guerres et les violations du droit international; les violences policières et la jeunesse; le réchauffement climatique; les inégalités et les injustices sociales; l’évasion et la fraude fiscales; les idéologies racistes et la persistance des discriminations, etc.
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« Seuls nos lecteurs peuvent nous acheter »

Mediapart a fait le choix de ne pas être financé par des milliardaires, de ne pas recourir à la publicité, de ne pas recevoir d’aides publiques à la presse. C’est ce modèle, financé exclusivement par nos abonné·es, qui nous permet d’enquêter librement, avec audace et détermination, dans tous les domaines de la vie publique française ou de l’actualité internationale : le respect de leurs promesses par les élus; les manquements à la probité de nos dirigeants; la corruption et les conflits d’intérêts; les violences sexistes et sexuelles; les guerres et les violations du droit international; les violences policières et la jeunesse; le réchauffement climatique; les inégalités et les injustices sociales; l’évasion et la fraude fiscales; les idéologies racistes et la persistance des discriminations, etc.
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Le documentaire « Media Crash »

MediaMedia Crash - Qui a tué le débat public ? a reçu, le 4 juin 2023, le prix Arnaud-Hamelin SATEV-FiGRA au Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société, organisé à Douai (Nord).


Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
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Le documentaire « Media Crash »

MediaMedia Crash - Qui a tué le débat public ? a reçu, le 4 juin 2023, le prix Arnaud-Hamelin SATEV-FiGRA au Festival international du grand reportage d’actualité et du documentaire de société, organisé à Douai (Nord).


Le film a suscité l’inquiétude des dizaines de milliers de spectateurs qui l’ont déjà vu, face à la mainmise sur l’information de quelques propriétaires milliardaires, aux censures qu’il révèle et à la fin annoncée de la redevance.
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La phrase que n'a pas prononcé Edwy Plenel est « Dans le monde des médias, Mediapart est comme le piment dans la salsa : ça pique, mais ça relève le goût de la vérité. »

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La phrase que n'a pas prononcé Edwy Plenel est « Dans le monde des médias, Mediapart est comme le piment dans la salsa : ça pique, mais ça relève le goût de la vérité. »

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18 mars 2020 : « À l’air libre », la nouvelle émission vidéo de Mediapart au temps du coronavirus

En mars 2020, alors que le coronavirus meurtrit le monde, Mediapart a créé une nouvelle émission vidéo d’information et de témoignages. Une émission solidaire, aussi, pour nous tenir chaud. Et dessiner le monde d’après. En accès libre.
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En mars 2020, alors que le coronavirus meurtrit le monde, Mediapart a créé une nouvelle émission vidéo d’information et de témoignages. Une émission solidaire, aussi, pour nous tenir chaud. Et dessiner le monde d’après. En accès libre.
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Sur les plus de 200 procès, nous n'en avons perdu que cinq.
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Fraude fiscale, contrôle des élus... Ce que l'affaire Cahuzac a changé

D’un mal peut parfois naître un bien. Pour surmonter le scandale Jérôme Cahuzac – il avait démissionné de son poste du ministre du budget en mars 2013, à la suite des révélations de Mediapart –, le gouvernement Ayrault a rapidement créé un Parquet national financier (PNF) et une Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Il s’agissait alors de montrer sa détermination à mieux réprimer la délinquance en col blanc et à renforcer le contrôle des acteurs publics.
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D’un mal peut parfois naître un bien. Pour surmonter le scandale Jérôme Cahuzac – il avait démissionné de son poste du ministre du budget en mars 2013, à la suite des révélations de Mediapart –, le gouvernement Ayrault a rapidement créé un Parquet national financier (PNF) et une Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Il s’agissait alors de montrer sa détermination à mieux réprimer la délinquance en col blanc et à renforcer le contrôle des acteurs publics.
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Mai 2016 : des femmes dénoncent les agressions et harcèlements sexuels de Denis Baupin

Tout se passe très vite. Presque en silence. « Sur le moment, j’étais tellement choquée que je n’ai pas dit grand-chose. »

D'après le témoignage audio de Sandrine Rousseau, porte-parole de EELV Mediapart et France Inter.

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Mai 2016 : des femmes dénoncent les agressions et harcèlements sexuels de Denis Baupin

Tout se passe très vite. Presque en silence. « Sur le moment, j’étais tellement choquée que je n’ai pas dit grand-chose. »

D'après le témoignage audio de Sandrine Rousseau, porte-parole de EELV Mediapart et France Inter.

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4 février 2019 : perquisition des locaux de Mediapart
6 juillet 2022 : la justice condamne l’État

Pour la première fois dans l’histoire de Mediapart, le parquet de Paris a tenté de perquisitionner les locaux de la rédaction, le lundi 4 février 2019 au matin, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour (notamment) atteinte à la vie privée dans l'affaire Benalla, à la suite de nos révélations.

 

Dans un jugement du 6 juillet 2022, le tribunal de Nanterre a condamné l’État pour sa tentative de perquisition des locaux de Mediapart du 4 février 2019, la jugeant « ni nécessaire dans une société démocratique ni proportionnée à l’objectif poursuivi ». Le jugement, très sévère pour le parquet de Paris, consacre la liberté d’informer et la protection des sources.

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4 février 2019 : perquisition des locaux de Mediapart
6 juillet 2022 : la justice condamne l’État

Pour la première fois dans l’histoire de Mediapart, le parquet de Paris a tenté de perquisitionner les locaux de la rédaction, le lundi 4 février 2019 au matin, dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour (notamment) atteinte à la vie privée dans l'affaire Benalla, à la suite de nos révélations.

 

Dans un jugement du 6 juillet 2022, le tribunal de Nanterre a condamné l’État pour sa tentative de perquisition des locaux de Mediapart du 4 février 2019, la jugeant « ni nécessaire dans une société démocratique ni proportionnée à l’objectif poursuivi ». Le jugement, très sévère pour le parquet de Paris, consacre la liberté d’informer et la protection des sources.

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Ces dernières années, nous avons été espionnés par des États ; nous avons été attaqués plus de 200 fois en justice ; un de nos articles a même été récemment censuré avant sa sortie : cela ne s’était pas produit depuis la grande loi sur la presse de 1881.

Mais en dépit de toutes les caricatures et attaques que nous subissons, nous tentons de continuer de vous informer au mieux et sans protéger personne : aucun parti, aucun homme politique, aucun groupe industriel, aucun syndicat, aucune ONG ne doit être soustraite à notre regard critique. Car c’est aussi ça l’indépendance.

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Ces dernières années, nous avons été espionnés par des États ; nous avons été attaqués plus de 200 fois en justice ; un de nos articles a même été récemment censuré avant sa sortie : cela ne s’était pas produit depuis la grande loi sur la presse de 1881.

Mais en dépit de toutes les caricatures et attaques que nous subissons, nous tentons de continuer de vous informer au mieux et sans protéger personne : aucun parti, aucun homme politique, aucun groupe industriel, aucun syndicat, aucune ONG ne doit être soustraite à notre regard critique. Car c’est aussi ça l’indépendance.

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